Un cycle de documentaires d’auteur, social et politique, sur le thème de l’émancipation des femmes.
Chaque séance se tient le vendredi à 20h00 (sauf exception), est suivie d’un débat, et se déroule en présence du réalisateur – de la réalisatrice.
Chaque séance du cycle Docu femmes est proposée à prix libre.
Sommaire
Programmation 2014
- Vendredi 4 avril – 20h00 : Marie-Josèphe Bonnet – Histoires d’amours féminines
- Samedi 17 mai – 20h00 : Kelly
- Vendredi 6 juin – 20h00 : Le Prince Miiaou
- Vendredi 4 juillet – 20h00 : Le 2ème i d’Émilie
- Vendredi 5 septembre, 20h00 : Visages d’une absente
- Vendredi 3 octobre – 20h00 : Entre leurs mains
Programmation 2013
- Vendredi 1er février – 20h00 : SAFAR
- Vendredi 1er mars – 20h00 : L’île de Chelo
- Samedi 23 mars (dans le cadre de Bobines Rebelles 62) :
- 11h00 : Cheveux rouges et café noir
- 18h00 : D’égal à égales
- Vendredi 5 avril – 20h00 : La langue de Zahra
Docu femmes
Cycle thématique : en programmant pendant plusieurs mois une série de films documentaires, nous voulons proposer des moments forts, permettant de créer une véritable dynamique de réflexion, approfondie, et abordant des facettes variées du thème choisi : l’émancipation des femmes.
Documentaire : en revendiquant un point de vue clairement affirmé, le documentaire permet de faire apparaître une réalité qui, d’habitude, nous est cachée. Il favorise une démarche critique et l’émergence d’une conscience politique plus engagée.
D’auteur : le documentaire dʼauteur est un prisme particulier permettant de nourrir une réflexion collective. Ce cinéma laisse une large place au spectateur dans l’élaboration d’une pensée (à lʼinverse dʼun reportage télévisuel, où le cerveau du spectateur est pris dans lʼétau des évidences et autres lieux communs).
Social et politique : à l’heure où les tenants du pouvoir nous imposent une pensée unique associée à une fausse bipolarisation politique, nous voulons partager nos interrogations, confronter nos dissidences. Indépendance politique et autonomie de pensée sont, aujourd’hui, une exigence sociale
« Le documentaire social se distingue du documentaire tout court et des actualités de la semaine par le point de vue que défend nettement son auteur. Ce documentaire social exige que l’on prenne position car il met les points sur les i. S’il n’engage pas un artiste, il engage au moins un homme. Ceci vaut bien cela. (…) Ce documentaire social devra nous dessiller les yeux. » Jean Vigo (1905-1934)